Le terme « dinde », qui est apparu dans la langue française en 1600, est une abréviation de « coq d’Inde », par allusion au fait que cette volaille vient de l’Amérique, qui portait alors le nom d’« Inde occidentale ».
Elle se compare avantageusement au poulet, tant pour la saveur que pour la polyvalence des apprêts culinaires.
À certains moments de l’année, c’est la volaille la plus économique que l’on puisse acheter.
Avec très peu de matières grasses comme le poulet, elle a sa place dans un régime alimentaire équilibré.
Grâce à sa teneur exceptionnelle en protéines et en vitamines, c’est un aliment très nutritif.
La dinde présente une faible teneur en matières grasses et en acides gras saturés et pourrait ainsi être intégrée à une diète préventive des maladies cardiovasculaires. Sa teneur élevée en sélénium pourrait aussi aider à protéger des maladies cardiovasculaires. De plus, la consommation de dinde s’avère particulièrement intéressante pour les individus souffrant d’allergies alimentaires, car la protéine de dinde est rarement allergène.
Dinde rôtie, entière ou en morceaux, accompagnée par exemple de marrons, entiers ou en purée, au curry pu avec d’autres épices… sa chair savoureuse est appréciée pendant les fêtes de famille !